Enquête à l'Hôtel du Progrès

Isidore C.une fois a l hotel, je demande a voir la chambre d un certain hugh wilson. s il n y a personne de ce nom, je sors la photo. je me presente comme un ami a qui il aurait demande de verifier s il avait pas oublie un truc dans sa chambre(genre montre de famille, papiers, telephone portable(?)...)lui meme ne peut pas venir car vachement occupe. le but est d aller dans la chambre et de farfouiller partuot.

Très bien, donc Isidore, Jonathan et William partent en taxi pour l'hôtel du progrès. L'hôtel est modeste mais correct. Le réceptionniste confirme que M.Wilson n'est pas rentré depuis trois jours- mais sa chambre est payée pour la semaine. La veille, un jeune homme avec une cicatrice au front est venu lui poser les mêmes questions.

William G. aux autres :
hum hum... les memes questions... un pote a lui??? ou quelqu'un a qui il doit quelque chose...
Au réceptionniste
"Un homme avec une cicatrice... un Francais ou un Anglais? a t'il demande a voir sa chambre comme je m'empresse de la faire?"

Le receptionniste ne fait pas de problème pour laisser vister la chambre (il est visiblement impressionné par les gueules de tueur de Jonathan et Isidore : voir leurs photos). L'homme à la balafre avait un accent anglais : confirme-t-il.
La chambre est simple et en ordre. Vous avez néanmoins l'impression que la chambre a déjà été fouillée. Quelques chemises, caleçons et chaussettes constituent les seuls effets personnels. Plus intéressant, sur la fiche de l'hôtel, figure l'adresse de Wilson : "Hôpital militaire 31 K, Poste restante, Arras"
Le réceptionniste donne également les dates des visites de Wilson à l'hôtel, il est venu 5 fois en trois mois pour des séjours d'une semaine à chaque fois (ça fait beaucoup pour être des permissions !)

Jonathan McK. au réceptionniste
"Si le balafré revient, auriez-vous l'amabilité de m'envoyer chercher à ce numéro (je lui donne un bout de billet avec mon adresse). Pourriez-vous nous le décrire plus spécifiquement: taille, teint, cheveux, yeux, vêtements, attitude, tique... un accent anglais, vous entendez par là Britannique?"

William G., toujours au réceptionniste
"et de quoi avait il l'air? etait il baraque, menacant, courtois, elegant, ..."
"notre jeune ami etait militaire anglais, c'est bien ce que vous m'avez dit? il devait etre medecin militaire ou infirmier pour etre base a un hopital militaire..."
"que venait il faire? avait il des manies, des amis..."
A mes deux collègues (et faites gaffe, j'ai fait parler des plus coriaces que vous a la guerre... j'peux vous r'tourner un ongle si vous obtenrez pas;-) ;-) ) : " et depuis quand Mlle Legrand avait elle des relations avec ce jeune homme?"
Je fouille la chambre rapidement a la recherche de quelconques papiers... aux autres :
"la guerre est finie!!! pourquoi repart il la bas? (d'ailleurs la bas, c'est ou? au front?) il faudrait telegraphier la bas... ou aller au ministere des armees... quelqu'un y a ses entrees???"

Jonathan McK. lui répond
"C'est, en vérité, tout à fait normal! Malgré le fait que la guerre est finie, il reste encore de nombreux blessés et les médecins militaires sont toujours forts appréciés! D'ailleurs, je suis moi aussi dans votre pays, mon cher ami!"

Le réceptionniste se rappelle juste de la balafre et des cheveux noirs. Quant à l'accent, il ne peut pas vraiment dire si c'était un Anglais ou un Américain. Le gars avait l'air sinistre et le réceptionniste n'a donc pas insisté quand l'autre lui a demandé de visiter la chambre de Wilson.

Jonathan McK. :
- Mon brave, quel est votre nom déjà, j'ai peur de l'avoir oublié? Alors, ce bonhomme, parlait-il un peu comme moi (je suis Américain pour les flemmards qui n'ont pas lu mon background)?
- Je m'appelle Jules, monsieur. Le monsieur à la balafre avait un léger accent, monsieur. Et je ne suis pas spécialiste en langues étrangères mais il me semble qu'il avait un accent différent du vôtre, monsieur.

Isidore C. : à ses compères
Il faudrait peut être retrouver les autres pour mettre en commun nos découvertes réciproques. ensuite, il pourrait etre intéressant d aller visiter cet hôpital.

Ca tombe bien, arrive une invitation de la part d'Ildefonso, et Jonathan, Isidore et Gabriel vont retrouver les autres investigateurs dans un petit café de la rue Vieille du Temple

 

Pendant ce temps chez les Legrand et à la B.N..

 

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